Dimanche 7 mai, direction le réservoir de pêche à la mouche « étang des Cloix » situé à quelques kilomètres de chez moi pour une matinée de pêche à l’anglaise et à la bombette.
L’intercommunalité qui gère ce réservoir l’ouvre à toutes les techniques au printemps pour permettre de déstocker les truites avant la période estivale.
C’est à l’invitation de Bertrand, alias Martin le héron que j’ai pu passer une journée de pêche sur la Tille et sur l’Ouche près de Dijon. Une sortie où de belles truites auront bien voulu jouer avec nous.
Un mikado (croustillant) de truite fumée à l’ aneth pour vous en mettre plein les papilles. Une recette très simple pour un apéritif ou une entrée. Encore une autre façon de cuisiner la truite pour faire saliver vos invités.
Samedi matin, direction les contreforts du Morvan pour une sortie truite en solo au poisson nageur dans le Ternin (71). Une sortie positive grâce au lâcher de l’ AAPPMA en surdensitaires.
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas du tout à la truite dans cette rivière du Ternin qui coule des monts du Morvan. Première sortie rapide vendredi matin au poisson nageur alors que je suis confronté à un phénomène de mortalité inexpliqué de mes vairons dans mon bac à vif.
Cette année encore dans notre pays l’ouverture de la truite en première catégorie s’est faite à la même date sur la totalité de l’hexagone et c’est bien le seul élément commun à cette ouverture.
Ca faisait quelques longues années que je n’avais pas enregistré de bredouille pour l’ouverture de la truite, surtout sur un secteur aleviné en surdensitaires une semaine avant mais c’est arrivé samedi, heureusement je me suis vengé dimanche au corégone.
L’ouverture approche à grands pas et pour beaucoup de pêcheurs qui vont la faire en rivière se pose la question de la technique la plus adaptée. Vairon, leurre ou toc ? Ces trois techniques qui demandent chacune un équipement particulier seront plus efficace en fonction de certains paramètres que nous allons essayer de déterminer.
Le 11 mars prochain, soit dans deux petites semaines, la truite ouvrira pour le bonheur de tous les passionnés de pêche. Ce moment le plus souvent festif est à préparer et il vous reste quelques jours pour vous en occuper sereinement.
Depuis l’apparition du fluorocarbone celui-ci a été utilisé à toutes les sauces par les pêcheurs que ce soit les pêcheurs de carnassiers, les moucheurs, les carpistes et bien entendu les pêcheurs de truites.
Lorsqu’on désire se mettre à la truite au leurre, on est attiré par le choix et par l’efficacité des minnows mais le leurre souple ça marche aussi bien et c’est surtout bien moins cher !
Ce grand weekend de trois jours nous donnait envie de partir mais une journée festive avec quelques amis de mon aappma était prévue le dimanche, nous sommes donc restés en terre morvandelles.
Les températures s’étant suffisamment réchauffées dans le Morvan, c’est donc au poisson nageur que j’ai choisi de pêcher le Ternin ce samedi matin et cette option s’est avérée payante.
Les températures de la rivière ayant un peu remonté, c’est donc au poisson nageur que j’ai pu effectuer une sortie à la truite dans la rivière morvandelle du Ternin sur le secteur de Lucenay L’Eveque (71). Une sortie rapide qui s’est révélée fructueuse.
A l’invitation de Bertrand « Martin le héron » je me suis rendu aujourd’hui dans l’agglomération dijonnaise afin de découvrir deux parcours nokill truite. Le premier sur la rivière Tille à Arceau (21) et le second sur l’Ouche à Crimoloi (21).
Une recette à base de truite très simple à réaliser avec des produits printaniers et tout en couleurs qui aura fière allure sur votre table.
Pêcher la truite aux leurres demande l’usage d’une canne adaptée, c’est pourquoi on choisira une puissance en fonction de la taille des leurres à utiliser et une longueur qui permettra de bien les animer.
Le mois d’avril devient, dans ma zone morvandelle, le mois parfait pour rechercher les farios sauvages qui ne sont guère sorties de leur trou en mars.
Les agrafes sont un maillon important du montage qui vous permettra de mettre au sec une belle truite. Vu la défense endiablée de ces poissons mieux vaut choisir des agrafes de qualité qui ne s’ouvrent pas intempestivement mais qui restent faciles à ouvrir avec les doigts gourds des matins frais de mars.
Le ver de terre est l’appât roi, il est très apprécié des poissons carnassiers et même des blancs, il ne coûte rien pour peu qu’on le récolte et il se conserve longtemps au frigo dans une grosse boite hermétique.