On ne pêche plus guère le brochet à la cuiller, la mode des leurres japonais ultra onéreux est passée par là mais notre ferraille reste toujours et encore un piège ultime à brochet.
Il existe pléthore de modèles sur le marché mais j’ai sélectionné ces trois classiques qui fonctionneront toujours sur notre copain grandgousier aquatique.
Il y a quelques années, j’ai découvert l’efficacité impressionnante du chatterbait et du jour au lendemain j’ai mis au rencart mes spinnerbait. Pourtant cette année je les ai ressortis et les ai en quelque sorte redécouverts.
Les déplacements se sont enchainés pour moi en mai et j’ai pu passer une semaine à Grandval Garabit dont trois jours consacrés à la pêche des carnassiers. Et comme d’habitude le Cantal m’a offert quelques beaux poissons.
C’est à l’invitation d’ Axel que je dois d’avoir pu me rendre à la pêche sur l’immense lac de Madine entre Meuse et Meurthe et Moselle. 3 jours totalement consacrés au brochet dans ce lac dont la population esoxienne est reconnue comme étant exceptionnelle.
Cela fait maintenant quelques années que la team passe le weekend d’ouverture sur les lacs d’Orient. En effet pour qui veut vraiment s’amuser à pêcher des brochets et tenter un tout gros, il y a peu d’endroits en France aussi bon que les lacs d’Orient et d’ Amance.
J’ai pu effectuer deux sorties en verticale en ce mois de février sur Pannecière, en effet ce lac est autorisé à la pêche du sandre durant cette période aux leurres.
J’ai pu effectuer deux sorties hivernales à l’ étang des Gaulois (71) et me mesurer aux brochets locaux sans pour autant dépasser la barre symbolique du mètre qui m’ échappe encore, néanmoins un 89 est venu se piquer à l’un de mes leurres. Récit de ces deux sorties:
Au-delà de la sensiblerie déplacée prônée par des groupuscules animalistes, il s’avère que la jeune génération de pêcheurs intègre sans s’en rendre compte une partie des valeurs que ces animalistes voudraient nous voir adopter. Et ça craint !
Les pêcheurs au vif sont encore très nombreux mais malheureusement pour eux plus personne ou si peu ne publie d’articles sur leur passion. Pour autant esoxiste.com se veut le reflet réel de la pêche des carnassiers et continuera d’écrire sur le sujet.
Mon vieil ami Dom a décidé de se mettre à la pêche des carnassiers en barque pour sa retraite et après avoir investi dans une belle barque bien équipée, il s’est lâché en s’équipant de façon très complète pour le carnassier.
J’ai pu effectuer deux sorties pêche durant la semaine entre Noël et le jour de l’an, deux sorties où un petit silure et un joli brochet se sont pendus à mes lignes.
Cette année libre des restrictions covid a été propice à la prise de pas mal de poissons. Les gros brochets auront été présents lors d’une de nos sorties à Orient mais ce sont surtout les sandres qui m’ont occupé cette année.
Je collabore avec le magazine numérique gratuit 1max2peche depuis son numéro 1, on en est au 48 et le numéro 49 sortira dans quelques jours.
C’est avec un très grand plaisir que j’ai reçu Axel Bechler et son épouse le weekend dernier afin de leur faire découvrir la pêche sur ma région, et malgré des conditions peu favorables nous avons réussi à tirer notre épingle du jeu.
Ce grand weekend de trois jours nous donnait envie de partir mais une journée festive avec quelques amis de mon aappma était prévue le dimanche, nous sommes donc restés en terre morvandelles.
Cette semaine passée a été mise à profit pour diversifier un peu la pêche à cause de nos chers carnassiers pas très coopératifs. J’ai donc pu aller en rivière pêcher les écrevisses, pêcher le chevaine à la mouche, découvrir un nouveau plan d’eau pour le carnassier et m’ amuser un matin au feeder à la carpe.
Ce mois de juillet a été mis à profit pour effectuer quelques sorties, une grosse à Pareloup dans l’Aveyron qui fait l’objet d’un reportage dédié et quelques unes en local sur le Morvan ou le secteur du Creusot.
Les poissons sont toujours sur off au lac des Settons dans notre Morvan mais jours après jours on les découvre un peu plus présents et moins groupés au sondeur. Les alevins grandissants, nos perches et brochets retrouvent peu à peu les postes classiques et il devient dès lors plus facile d’en prendre quelques uns sans que ce ne soit encore la fiesta.