Après mon escapade espagnole de Janvier, il me tardait de revenir à Mequinenza et ce fut le cas la semaine dernière avec l’opportunité d’y retourner pour quatre journées de pêche avec une météo moins froide que la dernière fois.
On m’avait vanté la période printanière pour pêcher là bas mais comme souvent la pêche est loin d’être une science exacte.
Vous aimez pêcher et consommer votre poisson, cet accessoire inédit et développé très récemment par les concepteurs de la marque Yeskill et distribuée en exclusivité par Morvan Pêche est parfait pour vous.
La poêlisette c’est l’avantage de l’épuisette et de la poêle à frire en même temps et en un seul geste. Bon pour l’environnement car fabriqué en France, cet accessoire sera votre allié fraîcheur dans le cadre d’une nourriture saine et équilibrée.
Une semaine avant mon séjour à Mequinenza, c’est Julo Fishing qui s’y trouvait. Les mêmes conditions de froid et de brouillard le matin avec le soleil ibérique de l’ après midi et des sandres pendus au bout de la ligne.
Découvrez cette vidéo très bien réalisée et embarquez avec Julo pour une pêche méquinenzienne de janvier.
J’ai déjà pêché cinq fois Mequinenza mais toujours en septembre octobre, jamais en janvier mais j’ai pu avoir l’opportunité de m’y rendre cette année avec des amis et si la pêche n’a pas été aussi bonne qu’en saison, elle y reste quand même bien au dessus de la moyenne française.
Tout commence par la visite du patron de Morvan Pêche qui est aussi mon voisin et qui me raconte en buvant l’apéro qu’il doit retourner chercher son bass boat stocké à Mequinenza
Traditionnellement, avec Nass, on fait le plus souvent notre dernière sortie, ainsi que notre première de l’année, sur le lac de Madine, lorsque la météo le permet.
Mais cette fois, la situation est bien différente.
En effet, la région est frappée par une épidémie de grippe aviaire, et de nombreux sites sont interdits d’accès. Sont concernés par ces restrictions une bonne partie du département de la Meuse (incluant le lac de Madine), ainsi que plusieurs rivières, étangs, etc… de Moselle et de Meurthe-et-Moselle.
L’hiver est arrivé dans le Morvan et les températures glaciales ont vu arriver la neige et le vent, pas vraiment un temps à mettre un pêcheur dehors.
J’ai pu effectuer une sortie rapide en verticale lors d’une matinée avant que la météo ne nous cloue à la maison.
L’hiver est là et bien là, même si la date officielle est encore loin, les poissons nous rappellent que les saisons ne sont pas gérées par un calendrier.
J’ai pu effectuer dernièrement deux sorties , la première à Pannecière et la seconde sur Torcy et les poissons ont déjà regagné leur position de repos hivernal.
Ce matin la team à mis le cap sur le lac de Pannecières avec pour but de chercher les belles perches. Nous nous étions équipés pour la circonstance avec tout un panel de leurres, des vers de terre et surtout quelques vairons afin de maximiser nos chances.
C’est à quelques dizaines de mètres de la mise à l’eau, alors que je me battais avec mon sondeur qui a perdu son coté tactile que Patoche annonça pendu. Une belle perche de 28 cm qui aura mordu au ver dans 6m d’eau.
Mes trop courts congés estivaux nous ont conduit cette année en Auvergne, et plus particulièrement en Corrèze.
Concernant la pêche, la Corrèze, ce n’est pas moins de 16 lacs de barrage et une vingtaine de plans d’eau divers, représentant une surface de plus de 4000 hectares, ainsi que 5000 km de rivières, principalement en première catégorie.
Si le paradis du pêcheur existe, on ne doit pas en être trop loin.
Vous l’aurez compris au nombre de reportages sur la perche que j’ai publiés ce mois qu’il est le moment idéal pour la traque de ce poisson. Qui plus est, en août, madame la perche se montre très réceptive aux leurres de surface.
Depuis plusieurs années, j’attends avec impatience ce moment précis de la saison qui ne dure généralement qu’une quinzaine de jours chez moi, ce moment de folie où les perches se jettent goulûment sur les stickbaits.
Il y a une trentaine d’année, un magazine papier sortait un hors série sur les pêches finesses des carnassiers dont l’anglaise. Tous les conseils qu’il donnait, je les ai appliqués et j’ai eu beaucoup de réussite en adaptant les techniques anglaises du waggler et du feeder pour pêcher les carnassiers.
Voici quelques lignes destinées à vous présenter tout ça et vous faire employer peut-être différemment votre matériel de pêche au coup.
Enfin un grand beau temps, certes très chaud mais très agréable le matin. La team a donc mis le cap sur les lacs ce weekend pour faire bouger quelques carnassiers et ce fut mission accomplie.
Samedi matin c’est avec Cathy que j’ai pris la direction du lac des Settons, histoire de voir si l’ activité des perches avait démarré. Nous sommes donc arrivés à l’ aube sur un lac d’un calme olympien, pas une vague ne ridait la surface.
La météo capricieuse de cet été ayant eu la grande obligeance de nous laisser une fenêtre ce matin, nous sommes partis avec l’ ami Patoche taquiner les perches sur notre secteur.
Direction le lac de Torcy avec toutes mes cannes les plus légères histoire de voir à quoi ces zébrées voudront bien mordre.
Le mois d’août est certainement le meilleur de l’ année pour traquer les perches aux leurres de surface. Celles-ci focalisent leur prédation sur les alevins de l’ année qui vivent encore en banc compact et se positionnent près des bordures dans des fonds moyens.
Pour repérer ces bancs et éviter de pêcher une zone vide de perches, mieux vaut être matinal car c’est à l’ aube que les chasses bruyantes vont commencer et l’absence de vent ridant la surface rendra plus facile la localisation des poissons qui peuvent être très mobiles.
Le jeune Nathan débute de fort belle manière une carrière prometteuse de pêcheur, en voici la preuve avec ses trois dernières belles prises: Une perche de 44 cm, un sandre de 62 et une carpe de plusieurs kilos.
A 8 ans il fait déja fort, d’autant qu’il tient de son grand père, Gilles STUHLFAUTH, trésorier de l’ Association Morvan Carnassier et grand spécialiste de Pannecière.
Ce long mois de vacances marqué par une météo plus que mitigée m’a permis d’organiser quelques sorties de pêche qui se sont révélées fructueuses sans pour autant être dignes de rester dans les annales. C’est ainsi qu’outre les classiques sorties avec la team, j’ai pu accueillir à bord de vieilles connaissances et profiter du bateau d’un copain au Bourget.
Une fois n’est pas coutume, je me suis retrouvé au dernier moment tout seul ce week-end pour aller pêcher.
Malgré les quelques coups de fil passés à la va-vite, personne n’est disponible pour une petite sortie.
Ce sera donc un week-end pêche en solo.
Bien que j’aime à partager mes sorties pêche, j’apprécie également, mais d’une autre façon, les vadrouillages en solitaires.
On peut parfois en profiter pour essayer d’explorer de nouveaux coins.
Depuis de très nombreuses années beaucoup de pêcheurs délaissent les leurres souples à la belle saison pour passer au leurre dur. Est-ce que les leurres souples sont moins efficaces en période estivale ou est-ce une mode dénuée de fondement.
Bien entendu, selon le carnassier recherché la réponse ne sera pas la même, nous allons donc examiner cette affirmation en l’appliquant à nos trois carnassiers les plus courants : Le brochet, le sandre et la perche.
Que je plains les pauvre vacanciers qui ont payé une location pour le lac des Settons ce weekend, après les pluies d’hier sont arrivés le brouillard et les températures fraîches du Morvan.
C’est la réflexion que je me suis fait ce matin à 06h00 à la mise à l’ eau, pauvres vacanciers…Et par là même pauvre pêcheurs que nous fûmes.
Après un weekend d’ouverture guère mémorable, celui ci restera dans ma mémoire avec une grosse perche, un gros sandre et un brochet de taille correcte pris près de chez moi.
Bien que les restrictions de déplacement soient partiellement levées sur mon département, j’ai choisi de passer deux matinées sur le lac de Torcy (71), la première dans sa partie la plus grande et la seconde sur sa partie la plus petite, appelée étang Leduc.