Merci à France 3 bourgogne d’avoir envoyé une équipe de télévision qui ont réalisé un reportage vidéo sur le Trophée Ecogear AMC 2012 des Settons.
Des fluorocarbones j’en ai essayé plusieurs marques et la plupart du temps d’étais déçu par leur faiblesse au nœud simple d’une boucle. En effet c’est toujours à ce nœud que mes bas de lignes cassaient et quand on place un bas de ligne à un émerillon c’est pourtant le nœud le plus simple et le plus courant.
Il y a un peu plus d’un an lors de mes vacances en Bretagne, j’ai fait une sortie avec l’homme que l’on peut considérer comme l’un des meilleurs guides de pêche en France : Charles Henri Canto de Bretagne Bar. Il utilisait, pour ses bas de lignes, de l’hyperfluorocarbone de la marque Parallélium et m’a confié que cette marque proposait le meilleur des fluoros à bas de ligne.
Les années se suivent et ne se ressemblent pas, malheureusement…..de 3ème en 2011 nous ne finissons que 52 èmes en 2012, c’est la pêche et seul le poisson décide sur quelle ligne il va mordre. Un concours qui s’est joué grâce aux perches assez nombreuses dont certaines de belle taille et quelques brochets.
Nous sommes arrivés au lac des Settons (58) à 06h00 du matin, soit une heure avant l’heure officielle d’arrivée afin de donner un petit coup de main à l’organisation. Un fois la sono branchée nous avons pu préparer nos bateaux, en effet, nous avions amené la deuze pour Cathy et Audrey et la troize pour nous.
Plaqué par un black, ça calme !!!
Il y a quelques semaines, alors que j’étais sur mon float tube en train de barboter sur un étang privé, j’ai pu vérifier la défense d’un black bass sur son nid.
Seul autorisé à pêcher sur la pièce d’eau, je sais à coup sûr qu’elle abrite des sandres dont plusieurs entre 80 et 90 cm, des blacks bass de taille imposante et des brochets. L’étang n’a pas été vidé depuis 40 ans….le rêve !!!
Ca y est le site vient d’atteindre un nouveau palier avec plus d’un million de pages lues depuis sa création.
Merci à tous de nous suivre, voici les graphiques des stats du mois où j’ai eu l’heureuse surprise d’un pic de fréquentation à près de 1500 le 5 et le 7 septembre, pour le reste du mois nous sommes à plus de 1000 internautes par jours à nous connecter.
D’entrée, afin de faire comprendre aux plus intégristes et/ou polémistes des deux causes, je précise que je suis pour le silure, pour un prélèvement raisonné de celui ci mais pas pour le moustachu partout.
Ces derniers temps sur internet dès qu’on parle un peu en mal du silure on se fait littéralement insulter par des imbéciles intégristes qui portent le silure aux nues tel un dieu qu’il ne faudrait surtout pas blasphémer. Vu que je méprise toute les formes de religion parce qu’elle asservissent ceux qui les pratiquent, c’est donc avec un réel plaisir que je vais m’attaquer au sujet
Ma première rencontre avec une grémille date d’une bonne vingtaine d’année, je cherchai quelques vifs dans la rivière Arroux près de chez moi et dans un coin calme et assez profond j’avais placé une ligne eschée d’un ver de terre, des fois qu’une perche passe par là. Et j’ai attrapé ce poisson, j’en ai même attrapé une bonne vingtaine qui à chaque fois avalaient l’esche et se piquaient loin dans la gueule.
Chouette, un bon gros misogyne comme moi va pouvoir s’en donner à cœur joie avec ce sujet. Pourquoi donc les femmes se mettent à la pêche ? C’est nouveau, ça vient de sortir, C’est mode ?
Non pas vraiment, mais ça semble être chez elles une passion tout autant chevillée au corps qu’elle peut l’être chez nous les mecs, les durs, les tatoués.
A force d’écrire sur les leurres et la pêche en bateau j’en suis venu à me demander si je n’omettais pas quelque chose d’important…La pêche des carnassiers, c’est avant tout des pêcheurs du bord et au vif, il suffit de vous rendre au bord d’un lac à l’ouverture et de compter les pêcheurs aux vifs face à ceux qui officient aux leurres, y’a pas photo. Donc, désormais j’écrirai régulièrement sur la pêche aux vifs, technique que je maitrise parfaitement puisque je l’ai pratiqué plus de 20 ans.
Le mois d’août tire à sa fin et la rentrée se profile. Les souvenirs de vacances sont encore tout frais et je garde en mémoire mon second séjour dans le Var au début du mois. Séjour d’à peine une semaine mais où j’ai eu le temps de retourner rendre visite à trois reprises aux blacks du petit lac de l’Avellan près de Fréjus.
Peu de pêcheurs ont eu la chance de voir ce poisson. L’apron du Rhône est en effet un poisson discret et inféodé à quelques zones très précises. Auparavant présent sur 1700 km de cours d’eau du bassin du Rhône, il n’en resterait plus que sur 150/200 km.
L’apron a été nommé Zingel Asper en latin et est classé dans la famille des percidés. Ce poisson très discret mesure au maximum une vingtaine de centimètres pour un poids inférieur à 100g.
Je ne connaissais pas la marque CWC (Catch With Care, société suédoise née en 1972) distribuée auparavant par Strike Pro et maintenant par SMITH et je n’avais pas osé sauter le pas du jerkbait sans bavette. D’une part je n’avais pas le matériel et d’autre part j’avais une sorte d’allergie face à la mode bigbait qui sévissait partout depuis des années.
Poisson étonnant fort comme une carpe, fuselé comme un aspe, bagarreur comme un brochet, le barbeau est un poisson fort peu pêché et pourtant….
En France cohabitent deux espèces de barbeaux, le fluviatile, sujet de cet article et le méridional, plus petit et qui est cantonné à la frange sud est du pays.
Je ne suis pas un grand amateur de romans halieutique, j’ai toujours trouvé que les auteurs en faisaient trop ou pas assez, quel les histoires racontées manquaient de densité. Évidemment avec des références littéraires comme Stephen King ou Umberto Eco…Et pourtant j’ai été très agréablement surpris par le livre du regretté Henri Limouzin : la longue coulée.