La chronique de Ridique de juin

Le 1er juin c’est la fête des fumeurs de beuh, allez donc leur demander pourquoi, c’aurait pu être aussi la fête des plombiers. Aucun rapport avec la pêche, oui mais je dis ce que je veux, c’est ma chronique et comme il faut qu’elle colle à son époque elle ne doit pas être anachronique.

Bon, comme c’est un site de pêche on va causer pêche : La pêche est le fruit du pêcher, cet arbre riquiqui qui à un blaze catholique. On utilise les branches du pêcher pour en faire des cannes pour que les vieux tout voutés s’appuient dessus. En 731 après Jean Claude, un vieux qui s’appelait  lorsqu’il se perdait et qui se retrouvait souvent comme ça, a décidé d’utiliser sa canne en pêcher pour s’en servir de prolongateur à  main qui tenait la ligne, comme ça il pouvait la poser plus loin et choper plus de poissons que son gros con de voisin, un carolingien nouvellement arrivé. De là est venue l’invention de la canne en pêcher à pêche.  Le carolingien, vexé de la réussite du vieux tout vouté voulu l’empêcher de pêcher avec sa canne à pêche en pêcher, vu le gabarit de viaduc de l’autre le vieux s’est dépêché de replier avant de risquer d’être repêché.

Non je ne pousse pas le bouchon, en plus en faisant ça comme un sport le vieux à gardé la ligne.

Déclarant à sa femme, elle aussi vieille, quand elle lui présenta de nouvelles chausses « a’m’sont trop grandes pour rester d’aplomb ». La vieille, méchante comme une teigne le tua à coups de pelle et de son corps fit des asticots alors que de son  con fit deux canards ! Il faut dire pour sa défense que la vieille qui s’appelait Zette, diminutif affectueux de Louisette, se faisait constamment rabrouer par le vieux qui lui disait tout le temps « tu m’épuises Zette !!! »

Very Dick mon histoire, c’est justement Dick Rivers le vieux chanteur banané tout vouté qui aurait bien besoin d’une canne à pêche en pêcher qui me l’a raconté un soir de pleine lune alors qu’on critiquait tous les deux Johnny Halliday en buvant du William Pile, ce whisky infect qui donne mal à la tête mais qui tombe au poil.

Bon, poursuivons mon histoire. Le vieux était mort et la Zette était toujours vivante mais sans le sou. Un homme aisé passant par là eu envie d’elle, il fallait absolument qu’il la bourre, riche qu’il était et lui offrir une vie décente. Mais Jacques Linet, c’est son nom, avait la prostate en mauvais état. Il bande mou Linet disait la bonne à la concierge devant un café et des langues de chats.

Mais quand Linet était lancé (!), il n’y allait pas par le dos de la cuiller ! Il a donc attrapé cette Zette dans ses filets et lui a fait le coup du père François en gueulant « Oh Land, Oh country, Oh freedom chérie » ! (je dérive là!).

Bon, j’empile les jeux de mots foireux à la douzaine…. Voyant donc Linet geuler, un voisin nommé Rillon, aimé par sa femme Yette (elle aime Rillon), lui déclara « en voyant ça je bous Yette » et lui lança une noix de coco….

Ça me fait penser à une histoire qui me fait poiler à chaque coup :

Tous les jours une grosse mère éléphant venait boire un coup à la rivière et promenait son énorme popotin à la vue de la jungle. Tous les jours un petit pic-vert lui volait autour en lui demandant de lui faire l’amour mais l’éléphante l’éconduisait en barrissant. Un jour la mère éléphant se planta une épine d’acacia dans le coin de l’œil et avec sa grosse trompe, elle n’arrivait pas à l’enlever.

Le petit pic-vert, pas con, lui dit alors : si je t’enlève cette épine, tu me laisseras te baiser ?

Bon ! Ça devrait pas trop me faire de mal se dit la mère éléphant, ok marché conclu petit pic-vert !

Le petit pic-vert ôta l’épine, voleta jusqu’à l’arrière du pachyderme et avec ses deux petites ailes musclées écarta les deux énormes meules avant d’y aller en criant Banzaï !

Un gros chimpanzé, posé dans un cocotier à coté, jaloux et réactionnaire, s’énerva devant le spectacle contre nature et jeta une noix de coco sur le pic-vert.

Trop énervé il loupa le piaf et la noix de coco atterrit sur la tête de la mère éléphant qui se mit à barrir très fort en secouant sa trompe….

Et le petit pic-vert derrière, heureux comme tout, qui  dit « tu jouis ma salope ! »

J’en ai d’autres comme ça je vous les réserve pour une autre fois.

Revenons à l’invention de la canne à pêche en pêcher, j’ai repêché ma première  idée parce qu’après une histoire drôle que dire  sinon Raymond, remet nous donc une tournée ?

Donc Rillon le lanceur de noix de coco marié à Yette, gueulant contre Linet, le gérontophile amateur de Zette, la tueuse de vieux tout vouté qui s’appelle, concurrent halieutique du  carolingien vexé…donc Rillon, disais-je, après cette amorce d’énervement se calma et rentra à l’étable pour finir le pansage de ses bébés phoques, qu’il vendait à la cantine locale de Wallnut Grove pour le 1er avril.

 

Si vous n’avez pas compris la fin, lisez donc  mes autres chroniques et si vous avez cru ce que je venais de raconter c’est  qu’il faut changer vos pilules.

Mangez d’la pêche.

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