34 brochets, certes rien d’ énorme mais avouez que c’est pas courant dans le domaine public. Il y avait aussi 4 perches …..petit reportage sur cette matinée sympathique et ensoleillée de la team à Torcy (71).
C’est à l’aube, la vraie pour paraphraser les amis de Carnapéro que nous avons mis à l’eau à l’étang Le Duc afin de chercher les grosses perches et pourquoi pas un sandre et un brochet.
La scoumoune me poursuit, je suis maudit, certainement qu’un escrologiste en pull qui gratte aura payé un envouteur !!! J’ai donc évité la brecouille mais de justesse sur le lac de Torcy (71).
Arrivé à l’aube, la team au complet composée de Patoche le Grand dit « le boudou » quand il ne prend rien, Cathy dite « Miss Blade » même quand elle ne prends rien, Dixie dite » le teckel à dents de sabre » qui ne prend jamais rien mais bouffe des hameçons et moi même…sommes arrivés à l’aube à la mise à l’eau.
Au vu du titre, vous vous douterez que la team esoxiste n’a pas fait une prestation d’anthologie, la pire de notre histoire peut être…Récit de cette journée de malédiction.
C’est à 06h30 que nous sommes arrivés pour donner un coup de main aux organisateurs. L’année dernière nous étions dans les premiers mais cette année pas mal de compétiteurs avaient choisis d’être matinaux malgré le fait que l’organisation ne se mettait en place qu’à partir de 07h00.
Vous vous rappelez peut être la bestiole dans Pif Gadget qui disait « pas glop pas glop » quand ça ne lui plaisait pas… Et bien, ça faisait longtemps que je l’attendais ce week end entre copains sur le magnifique lac du Bourget, pouvoir naviguer à fond plus de deux minutes en ligne droite, voir des décors fabuleux et de beaux poissons.
Mais comme d’hab, l’impondérable, l’imprévisible, cette foutue météo. Petit récit de ce week end qui ne restera pas dans les annales de la pêche.
L’open de l’ AMC, cet open qui l’année dernière avait pulvérisé les records de participation avec 113 équipages se déroulera le 14 septembre prochain aux Settons.
Je vous invite a en découvrir les modalité sur le blog de l’ association Morvan Carnassier, avec en gros 15 000 euros de dotation et des lots offerts aux dix premiers habituellement réservés au seuls premiers chez les autres organisateurs.
La pêche en première catégorie fermera dans une quinzaine de jours, la dernière occasion pour moi d’y aller faire un petit tour avant de retrouver le Ternin en février lors des nettoyages de berge de l’ AAPPMA.
Je n’ai attrapé qu’une petite truite, mais une sauvage, le reste ne sera que paysage superbe lors d’une matinée de fin aout.
Ce matin la team à quitté ses terres morvandelles pour mettre à l’eau chez les bressans, plus précisément à Cuisery dans la Seille gérée par l’ami Olivier Bernolin du Goujon Cuiserotain.
Ce n’est pas que les poissons mordaient plus là bas que chez nous, juste envie de changer d’air et naviguer sur d’autres eaux. Nous en avons profité pour faire découvrir ce beau coin à Jean Louis et Christian qui ne connaissaient pas.
L’année dernière j’avais emmené Léo, un jeune montcellien de 14 ans pour lui faire découvrir la pêche des carnassiers en bateau sur l’esoxiste 2. Aujourd’hui je l’ai emmené de nouveau au Settons mais dans la 3 et il a pris du poisson.
Léo débute à la pêche du carnassier et n’a personne de sa famille avec qui pêcher. Etant donné qu’il s’était comporté comme un chef l’année dernière je l’ai invité de nouveau.
Ce matin il y avait foule à la mise à l’eau de Torcy (71), au moins huit barques prêtes à traquer le carnassier. Visant les perches nous ne les avons pas trouvé mais c’est un jeune silure qui à ponctué cette matinée ensoleillée et sympathique.
Un titre un peu moqueur mais gentiment pour bâcher un peu mon pote Patoche qui s’est pris sa première tôle de la saison carnassier !
Nous sommes partis ce matin pêcher le lac du Crescent (89) histoire de nous dépayser un petit peu. Après une heure trente de route nous sommes arrivés à la mise à l’eau (Lire la page de présentation de ce lac), le niveau est assez bas et comme d’habitude beaucoup de petits poissons blancs sont regroupés sur le bordures.
La journée s’annonçait magnifique, un temps idéal pour la pêche et pour profiter de cette période estivale bien installé dans sa barque à traquer les carnassiers.
Nous sommes partis ce matin avant l’aube pour mettre à l’eau à Torcy (71) en espérant que les petits becs de 30 soient calmés et laissent la place à leurs grands frères et si les gros brochets n’ont pas mordus il n’en a pas été autant des perches, des grosses perches et surprise pour nous, des silures.
Tahitifish alias laurent, spécialiste de la pêche en mer qui me fait l’honneur d’écrire sur esoxiste.com a eu vent de mes vacances en Bretagne et m’a très gentiment invité à une sortie au bar.
Mardi 23 juillet, accompagné de Patoche, j’ai rejoint Laurent vers 09h30 sur le port de saint Malo où il préparait son semi rigide. La marée commençait à descendre et en une dizaine de minutes tout fut rangé dans le bateau et celui ci mis à l’eau, prêt à partir.
Un dimanche de soleil où c’est encore patoche, dont la chance ne le lâche plus, qui nous mettra la misère avec deux petits becs. Récit de cette sortie:
Nous avons été accueilli à 6h30 par un orage que la météo n’avait pas vu venir et nous non plus, pas de tenue de pluie….L’orage s’est en allé une petite heure plus tard. Un autre pêcheur mettait à l’eau au moment où l’Esoxiste 2 quittait la rampe, il nous connaissait via le blog et nous nous sommes brièvement salué.
Quand des esoxistes morvandiaux d’eau douce envahissent le Finistère nord, ils ne pensent qu’à se mesurer aux poissons de l’océan.
Nous avons fait deux sorties en bateau et trois du bord deux heures avant la marée haute comme on me l’avait suggéré. C’est derrière la presqu’ile de Saint Anne à Saint Pol de Léon (29) où j’avais pris quelques bars il y a 6 ans que nous avons cherché ces superbes poissons.
Que faire du bord de mer en vacances lorsque la marée descend ? Pêcher les couteaux bien sûr.
C’est une pêche ludique qui amuse petits et grands, qui occupe l’estivant et ensuite il n’y a plus qu’à les manger.
La team esoxiste a enfin retrouvé son eau douce, en l’occurrence le lac de Torcy près du Creusot où malgré les fortes températures nous avons pris quelques poissons.
Nous pensions monter sur les Settons mais M. Météo et ses forts orages annoncés nous en ont dissuadé, donc cap à 1/2 heures sur le lac de Torcy ou nous avons mis à l’eau vers 7h00 du matin.
Les Glénans, un archipel fabuleux de beauté situé à une petite demi-heure de la côte et qui abrite une belle population de poissons. C’est sur cet endroit magnifique que nous avons pu pêcher la journée du lundi 22 juillet dernier sur le bateau du gu ide Hubert Calvar, un homme étonnant de gentillesse, de joie de vivre et un excellent pédagogue. En bref, un mec comme je les aime qui m’aura fait prendre du poisson et passer une journée fabuleuse. Petit récit de cette sortie de pêche.
La pêche de l’écrevisse est simple pour ce qui est de la réglementation. La pêche de l’écrevisse indigène est interdite toute l’année dans mon département de Saône et Loire, par contre pour les écrevisses exotiques c’est autorisé de l’ouverture à la fermeture générale en 1ère catégorie et toute l’année en seconde. Consultez l’arrêté préfectoral de votre département pour connaitre les dates et conditions de pêche de ces délicieux crustacés.
Au vu du titre vous sous douterez bien de ce qui est arrivé mais avant d’arriver à la belle prise de Patoche, laissez moi vous narrer ce petit week end aventureux.
Nous sommes arrivés samedi vers 10 h au port de Sciez pour mettre à l’eau tranquillement, le problème c’est que dans un port il n’y pas beaucoup de pêcheurs mais énormément de plaisanciers du week end qui mettent deux plombes à mettre à l’eau leur bateau à 40 000 euros.
Depuis mes 2 virées au lac Léman, peu de sorties pêche se sont succédées. J’ai bien essayé de me rendre sur la Seille pour taquiner les sandres, mais à ce jour ils me boudent… sans doute frustrés que je les ai délaissés lors de l’ouverture. Il faut dire à ma décharge, que les conditions de pêche sont difficiles cette année : les crues se succèdent et à peine le niveau d’eau devient-il acceptable que la rivière se gonfle à nouveau.