Ce mois-ci, j’exhume à nouveau un bouquin préhistorique qui traînait depuis longtemps dans ma bibliothèque, histoire de vous rappeler -si vous partez en vacances dans le sud- que la pêche est intemporelle ! Il s’agit d’un ouvrage de 300 pages assez complet sur les poissons de méditerranée, qui fait le point sur les techniques « modernes » de pêche, tout en faisant la part belle aux traditions. Il commence donc intelligemment par une série de planches en noir et blanc de bonne facture qui présente les principales espèces de poissons (et leurs noms locaux), de mollusques et de crustacés, suivit d’une description détaillée de leurs mœurs, ainsi que de leur méthode habituelle de pêche. C’est vraiment complet pour l’époque, et encore valable aujourd’hui, à quelques détails près (la taxonomie est fluctuante !).
Ils vivent dans nos eaux : La blennie fluviatile
Ce poisson en plus de n’être pas très commun au regard des pêcheurs lambda possède vraiment une gueule !
Petit poisson qui ne dépasse guère les 10 cm pour 14g la blennie fluviatile est implantée dans la zone sud du pays. On la retrouve sur tous les fleuves côtiers et tout au long du cours du Rhône jusqu’au lac du Bourget.
Le coin du débutant : Une sélection de PN pour l’été
Les vacances scolaires sont là et les vacances normales pour les travailleurs arrivent. Les débutants aux leurres vont pouvoir mettre en pratique les informations que je livre régulièrement sur les techniques nouvelles.
Pour autant, savoir qu’il faut une tête de ligne en fluoro, une bonne tresse en 12 centièmes…. et se retrouver démuni devant le choix de poissons nageurs peut décourager les débutants.
Je leur propose donc une petite sélection de poissons nageurs qui ont fait leurs preuves et qui permettront de s’amuser et de progresser dans la pêche aux leurres cet été.
Une journée de participation au Défi Prédators Est à Panthier (21)
Le dimanche 17 juin 2012 à Panthier (21) c’était la cinquième manche de la saison pour le Défi Est Prédators.
L’AAPPMA locale avait mis en place une organisation sans faille pour accueillir les participants, les placer dans la file d’attente pour la mise à l’eau et les placer ensuite sur un parking le long de la route. Pas mal de chemin à faire ensuite à pied pour rejoindre la mise à l’eau sous la pluie.
Hommage aux grands noms de la pêche: Gérard CHIMANEAU et Jean Francois DAILLEHOUAT.
Un article tiré de mon précédent blog qui méritait une petite retouche et une nouvelle publication en hommage à ces deux grands personnages.
L’immense héritage halieutique que nous ont laissé ces deux grands ingénieurs illuminera encore le monde pour des décennies. Initiateurs des moulinets de nouvelle génération, leur génie mécanique n’aura eu d’égal que leur génie commercial. Japoniser leur nom aura été une trouvaille qui a permis de pénétrer le marché nippon et américain tout comme l’avait fait Claude Moine qui devint Eddy MITCHELL, lui qui chantait en faisant des moulinets de ses bras.
Tacon ou truitelle ?
A la recherche des brochetons du Bief Colas…
Culture Pêche: Norman Rockwell
Le retour du saumon en Centre Est France, espoir ou gabegie ?
Pour la défense des rivières jurassiennes…
Ils vivent dans nos eaux : Le carassin
Le Carassin commun (Carassius carassius) est à distinguer de son cousin le carassin doré ou poisson rouge qu’on trouve quelquefois en étang suite à une vidange sauvage d’aquarium.
L’autre espèce, le carassin argenté est plus prolifique mais faire la différence entre les deux demande quelques compétences puisqu’il faut compter les branchiospines (Protubérances cartilagineuses paires, portées en deux rangées par les arcs branchiaux sur leur face pharyngienne et qui protège les lamelles branchiales de la cavité buccale des aliments).
La vision des couleurs chez les poissons (et chez les pêcheurs)
S’il est un sujet âprement discuté entre pêcheurs, c’est bien le choix de la couleur d’un leurre souple, d’une cuillère, ou d’un poisson nageur. J’ai assisté, vous aussi j’en suis sûr, à des débats sans fin au bord de l’eau sur ce thème, chacun ayant ses couleurs fétiches ou ses teintes abhorrées. Alors qui a tort et qui a raison ? Je vais tenter ci-dessous de faire un point sur ce que nous savons vraiment.
Passer son permis fluvial
Un moment ou un autre il faut y passer et puis à force de martyriser la poignée du 6cv on se prend à rêver d’un moteur plus puissant qui nous emmènerait plus vite sur les coins de pêche.
Malheureusement pour naviguer avec un moteur puissant il faut être titulaire du permis fluvial si l’on veut pêcher en fleuve et lac ou du côtier qui vous permettra de pêcher en mer et en lac mais pas sur les fleuves.
Dans les arrêts de jeu…
Sortie rapide en Seille ce mercredi matin. Je suis de nounou dès 8h30 alors vite, petite sortie éclaire avant de me consacrer à ma fonction paternelle. Donc au menu, du baby…
Et depuis l’ouverture…
Retour … au Grand large…
Un petit complément à l’artcile de Sylvain sur notre sortie d’hier au Grand large. J’en avais beaucoup entendu parler depuis plusieurs années mais je n’y avais encore jamais mis les pieds. Maintenant c’est chose faite et c’est un parcours de plus de découvert.
La bibliothèque du pêcheur: « Faune des lacs, des étangs et des marais »
La faune des lacs, des étangs et des marais de l’Europe occidentale. (Par L.Germain et E.Seguy)
En écho à l’article de Sylvain sur le livre « les poissons d’eau douce de France », je vais vous parler de ce précis de limnologie que j’avais acheté il y a longtemps, pour me documenter sur les écrevisses…
C’est un livre désormais un peu dépassé au niveau taxonomie, mais qui vaut surtout comme un instantané des populations piscicoles –entre autre- en 1957, date de sa parution.
La bibliothèque du pêcheur : Les poissons d’eau douce de France
Un grand merci à Julien MAUPOUX de la fédération de pêche de Saône et Loire pour m’avoir conseillé cet ouvrage.
Un pavé de 550 pages qui rassemble dans se première partie plusieurs chapitres sur l’ichtyologie en général et l’écologie des poissons. Ceci avec des données archéologiques et paléontologiques qui m’ont passionné. Un ouvrage très pointu utilisé par les techniciens qui peut rebuter le pêcheur lambda mais qui intéressera celui qui aime la pêche et surtout les poissons.
Vouglans 2012, part II
Après la journée du vendredi plutôt chargée en pluie et en vent, celle du samedi s’annonçait plus calme.
Au réveil le matin le lac était d’huile et le ciel bien dégagé. Nous avions décidé de pêcher l’aval du pont de la Pyle et pousser jusqu’au port de la Mercantine. Ce qui a fait qu’en deux jours de pêche nous n’avons pu explorer que les deux tiers de cet immense lac.







