Cette sortie annuelle des membres de l’ AMC qui se déroule sous la forme d’une petite compétition carnassier en interne s’est déroulée samedi 15 juin 2019 sur le lac de Pannecière (58).
Une vingtaine d’équipes se sont rejointes de bon matin au niveau de la mise à l’eau d’ Ardilly, près du camping des Soulins qui a eu la gentillesse de nous prêter son terrain pour y stationner voitures et remorques.
Direction le lac des Settons ce matin avec mon vieux coéquipier Patoche afin de voir où en est le potentiel perche de ce lac qui va accueillir la douzième édition de l’ Open des Grands Lacs du Morvan à la mi-septembre.
Reveil à 4h30 pour moi et préparation du matériel en attendant Patoche qui arrive pour 05h30 à la maison, chargement et départ pour le Morvan avec une heure de route devant nous.
Après notre dernière belle pêche sur ce magnifique lac du Morvan, il nous fallait confirmer que les carnassiers étaient réveillés donc direction ce matin Pannecière (58) pour la team.
C’est vers 06h40 que Cathy, Patoche, Dixie et moi-même sommes arrivés à la mise à l’eau de Chaumard.
Petite parenthèse au sujet de cette commune, une de plus, lorsqu’on enlève le container poubelle qui était à coté de la mise à l’eau, il ne faut pas s’étonner que les porcs de touristes piques niqueurs laissent leurs saletés au sol !
Direction Pannecière pour Cathy et moi samedi pour une matinée de pêche sous une météo enfin favorable. Arrivés sur Chaumard à 06h30 nous constatons qu’un grand nombre de carpistes sont installés sur les coins favorables aux carnassiers. Peu importe nous pêcherons ailleurs et c’est certainement ça qui a été la cause de notre réussite.
Nous traversons le lac pour une baie et évidemment c’est blindé de lignes de fond dont replis pour la bordure qui suit. A peine 5 minutes de pêche et Cathy m’ annonce pendu au chatterbait, selon elle c’est lourd
Première sortie de l’ année pour nous à Pannecière (58) en ce matin du jeudi de l’ ascension afin de voir si nos carnassiers morvandiaux sont reveillés.
Première surprise après une mise à l’ eau en amont du lac, la température de l’ eau. Celle ci était déjà à 18.5 °c, de bonne augure pour l’ activité des poissons.
Après avoir discuté deux minutes avec des copains pêcheurs présent depuis l’ aube nous mettons le cap là où l’Yonne se jette dans le lac
Notre ouverture dans le Morvan s’est déroulée ce matin car hier seuls les plus courageux ont bravé des conditions météos dantesques. Elle s’est effectuée au lac des Settons (58) avec un peu de vent mais sans pluie. Concernant le sandre, c’est qui qui avait raison dans son édito mensuel ?
Nous sommes arrivés les premiers à la mise à l’eau près du barrage vers 06h00 alors que le soleil se levait sur une aube grisâtre.
Bonjour à tous
Voici la suite de nos aventures:
Nous décidons d’attaquer un autre lac, lac qui a la réputation de produire moins de touche mais de meilleur qualité ! Difficile de dire non après notre dernière session. Nous mettons donc à l’eau tôt dans une ravissante mise à l’eau.
La pêche au vif qui supplante encore la pêche aux leurres, n’en déplaise à ses détracteurs, demande de bien s’organiser au bord de l’eau afin d’être le plus efficace possible.
Cette pêche nécessite d’emporter plusieurs cannes, de quoi s’asseoir, un contenant pour les vifs et bien entendu quelques objets de confort.
Dans l’inconscient collectif, la pêche au mort manié est emprunte de mystère, une technique qui ne se maîtrise qu’après une longue quête. Or, c’est tout le contraire, le mort manié est facile mais comme toute technique il suffit juste de l’expliquer.
C’est ce que je vais tenter de faire à destination de ceux qui voudraient s’y mettre.
Il y a 30 ans de cela le mort manié était une pêche réservée à l’élite des amateurs de carnassiers.
Le moins qu’on puisse dire c’est que Fish Friender, Scarna Fishing et Fish and Fun nous présentent une vidéo des plus intéressante.
Inspirée de ce qui se fait dans les pays scandinave, cette vidéo nous propose une petite compet amicale entre deux équipes composées avec des Youtubeurs et des prostaffs, en l’occurrence Gael Even et Fred Jullian pour Illex et Gunki
Chaque année l’ AAPPMA d’ Arc sur Tille (21) invite des pêcheurs équipés de bateau pour pêcher le brochet mais il faut pour cela embarquer à bord un jeune de l’ école de pêche. J’ai donc été convié à participer à cet événement ou Cathy a mis au sec un très joli brochet.
La base nautique d’ Arc sur Tille est normalement interdite à la pêche en barque mais la municipalité offre quelques dates bateau pour l’ école de pêche. Comme c’est une gravière, elle échappe à la loi pêche et la pêche du brochet (en no kill) est ouverte pour ces événements.
Bonjour à tous;
Suite à une première session en Seine avec Gael, je voulais voir son approche dans de très grand ensemble.
Avec Thomas, nous arrivons les premiers sur place et mettons rapidement à l’eau attendant que Gael nous rejoigne. Un fort vent souffle depuis une semaine, et la navigation n’est pas simple; pour ajouter au tableau un frais vent d’Ouest nous glace les mains.
Cette année la marque Savage Gear nous propose avec la Parabellum Travel 214, une canne truite de faible encombrement qui satisfera tous les amateurs de traque de dame Fario aux leurres.
Qu’il est agréable de toujours avoir dans son coffre de voiture une canne dite de voyage qui ne va pas vous encombrer et qui ne demandera qu’une minute pour être mise en service. Vous êtes en déplacement et vous croisez une jolie rivière…Plus qu’à monter la canne.
Drôle de titre non ? Est-ce qu’un coéquipier de pêche se choisit selon des critères objectifs et/ou subjectif ou alors s’impose à nous ? Quelles sont les erreurs à ne pas commettre ?
J’ai vu tellement de binômes voler en éclat après une ou deux saisons que ce sujet mérite notre attention même s’il peut choquer une certaine forme de morale.
La pêche au vif demande de maîtriser quelques montages de bases qu’on pourra adapter au gré de ses envies ou en fonction des conditions de pêche rencontrées.
Bien entendu on ne pêchera pas de la même manière le brochet que le sandre et pour cela quelques notions qui se sont un peu perdues dans l’ oubli collectif sont à rappeler.
C’est samedi 5 janvier que l’ Esoxiste II a fait sa première sortie 2019 en verticale, plus précisément sur Pannecière avec un temps hivernal bien morvandiau.
Arrivée pour nous à 08h00 du matin à la mise à l’eau de Bonin,, nous sommes les premiers et le jour tarde à poindre. Il fait un petit 0° et le vent n’a pas encore eu le temps de se lever en nous offrant un lac des plus calmes.
Nombreux sont encore les pêcheurs à utiliser la technique du vif au bouchon ou en calée pour pêcher le carnassier. Ces techniques sont plus efficaces que le leurre lorsqu’on connaît parfaitement le poste sur lequel on pêche.
Il existe toujours sur le marché des montages tout prêts mais ils sont souvent surdimensionnés et plutôt grossiers. Ils peuvent dépanner , on peut aussi réaliser de plus beaux montages en les faisant soi-même.
Dernier article de cette série consacré à comment attaquer un poste au leurre, le leurre souple est à l’identique des autres, capable de pêcher tous ces postes mais souvent victime de la fainéantise du pêcheur qui n’utilise qu’un ou deux modèle et quelques coloris.
Il existe un grand nombre de forme de leurres souples, des shads, finesses, virgules, worm, slug, créatures…Et j’en passe. Se cantonner seulement au shad est une erreur facile à corriger au bord de l’ eau et on verra que les autres types de leurres sont très efficaces.
Les perches sont des poissons fantasques qui peuvent se trouver partout en plan d’eau néanmoins il y a quelques postes qui semblent les attirer comme un aimant.
Ces postes évoluent au fil des saisons mais en gardant à l’esprit ces quelques indications vous pourrez généralement les trouver.
Mais les trouver c’est une chose, les faire mordre en est une autre !
Second article de notre série « attaquer un poste », voyons aujourd’hui la stratégie à mettre en œuvre pour attaquer un poste au leurre dur.
La grande majorité des pêcheurs aux leurres durs ont une mauvaise habitude qui consiste à sortir son leurre préféré de la boite et pêcher avec sans prendre en compte la saison, la profondeur ou d’autres facteurs. J’avoue être moi-même aussi souvent victime de cette façon de faire mais je finis toujours par me reprendre. Il existe nombre de familles de leurres durs comme ceux qui vibrent, ceux qui dodelinent, ceux qui frétillent, ceux qui nagent en S et parmi ces familles, nombre de sous-familles qui rendent le choix complexe