Renouons avec le succès … En toute relativité.

Pas évident de trouver un créneau météo acceptable afin d’aller tenter la truite.
En effet, entre la pluie qui a maintenu les niveaux d’eau très élevés, l’été qui n’en fini pas de ne pas commencer, avec des températures à peine dignes d’un moi d’avril, il faut savoir rester motivé.

 

 

Arrivée au bord du ruisseau. Un rapide passage de la main dans l’onde m’indique que l’eau est encore très froide. De plus, avec à peine 18 degrés en cette après midi, quasiment pas un insecte de visible, pas un gobage en vue … Cela n’augure rien de bon, mais on y croit.

 

Préparation du matériel, et chaussage des cuissardes.

 

Après plusieurs mois de pluie, l’eau commence seulement à redevenir un peu plus claire. On peut enfin voir à peu près ou l’on met les pieds.

 

Les premières touches. Mais ce n’est pas l’euphorie. Il faut passer le leurre au bon endroit. Je n’observe pas un poisson en vadrouille sur les radiers.

 

 

Les poissons ne courent pas derrière les cuillères, c’est le moins que l’on puisse dire. Il s’agit de peigner tous les endroits potentiels pouvant abriter une truite.

 

La ténacité fini par payer …

 

 

Il ne manquerait qu’un peu plus de soleil pour que cette journée soit parfaite.

 

Avec une quinzaine de poissons de toutes tailles, c’est enfin le départ de la saison de la truite pour l’été.

 

AB