ridique 
L’année dernière à la même époque je vous racontais mes fabuleuses aventures de juillet dans le grand nord à la chasse au phoque, vous pouvez les relire gratuitement en cherchant sur ce fabuleux site, non je ne mettrai pas un lien vous n’avez qu’à chercher vous même, bande de feignasses !
Vent de juin, rien de bien, disais ce proverbe lancé un mardi par Bertrand Theur à l’auberge du Chat Sauvage, sauf que personne ne l’ a entendu et que ce proverbe est resté totalement inconnu et qu’il vaut mieux qu’il le reste pour le bien de l’humanité. Il parlait bien entendu du vent et non des vents flatulents car là si on ne l’avait pas entendu on l’aurait au moins senti ! Dixit un sourd de ma connaissance.
Il est temps pour moi de passer à autre chose. Et ben non, lecteur, je n’arrêterai pas cette fabuleuse chronique qui rend jaloux les éditorialistes humoristiques parisiens qui bossent pour la radio,la télé, les journaux ou les partis politiques.
Passer à autre chose, non plus je n’arrêterai pas la pêche car je suis un adepte de Saint Pierre Poljack de rhum, le surnom de mon pote italien Pierre Icolosporgersi.
13 ème chronique, ouille!!!Ca porte malheur. Qu’Astaroth me gratte la glotte mais ça fait donc plus d’un an que je vous titille les méninges avec mes jeux de mots étonnamment puissants qui font frémir de jalousie les chroniqueurs télé et les gros niqueurs félés.
Un mars et ça repart, 12 ème chronique mensuelle braves halieutistophiles avertis, par qui je ne sais ? Ce mois ci nous allons nous pencher sur l’une des deux seules choses qui intéressent le lecteur de cet excellent site ou j’officie (pas seulement cette seule note, Jo fit aussi un la et un sol un jour qu’il était énervé) : Le cul et la bouffe mais dignement et en rapport avec la pêche.
Non, non et c’est bien dommage, nous ne parleront pas d’une recette savoureuse de bébé phoque en croute de selles, plat traditionnel des égoutiers suédois mais des anus farcis de brochet au miel d’Egypte.
Salut à vous fidèles lecteurs décérébrés de cette chronique la plus déjantée du monde de l’ halieutisme, mot difficile pour un dyslexique !!! Tout comme esoxiste.com d’ailleurs !
Février est le mois honni de la fraye du bébé phoque. Ouh ! Que ce mois me rend triste alors que la hausse de la TVA, des impôts divers, du prix du gasoil, de la cotis à l’Association Universelle pour la Castration Unilatérale des Lamas ( l’AUCUL) et du permis de pêche aurait du me faire vomir de joie.
Aaah, je me suis goinfré d’huitres ces derniers temps et mes flatulences ont la fragrance délicate de l’iode et de l’algue verte. He oui les gars, hé oui les filles, eh oui les travs-bi-trans, c’était Noël il y a quelques jours, période bénie où on pense aux pauvres gamins du Biafrogalistan (pour paraphraser Gotlib) en reprenant une deuxième tranche de gigot !
Bonne année mon cul, disait Pierre Desproges, fabuleux humoriste malheureusement disparu. Heureusement qu’il en reste un, ben oui, moi !!!!
Bonne année à tous ceux qui ne se prennent pas au sérieux, ceux qui ne pissent pas du vinaigre ou qui ne rigolent pas quand ils se brûlent.
Bonne année à la mauvaise foi, à l’irrespect, à l’irrévérence, donc à l’humour en général. Et bonne année à mon vieux Dick Rivers que j’adore !
Voici ma belle carte de vœux que vous pouvez utiliser pour la souhaiter à tous ceux qui ne captent pas l’humour!
Petit cadeau de Noël à tous ceux qui ont de l’humour et qui ne crieront pas au blasphème et à la crucifixion de Ridique. Un petit roman photo très joli où Jésus le pêcheur s’attaque au lobby de la pêche pro.
Comme d’habitude, si vous avez cru tout ce que je venais de dire, changez vite vos pilules !
J’aime bien les moucheurs, ceux qui se mouchent avec un tire jus en toile de 30 cm de coté qu’on achète dans les foires. Accessoirement ça peut servir de bâche de protection, de nappe, de toile à tipi, de couverture de survie pour passe partout, de cape pour un petit super héros, ça permet même d’essuyer la sueur du front du visage quand qu’on attrape chaud.
Bienvenue à tous dans la chronique la plus intelligente de l’univers ou nous traiterons ce mois ci des aberrations de la langue française appliquées à la pêche. Soyez vigilant car quelques jeux de mots subtils seront égrainés ça et là et si vous les loupez, j’aurai l’impression d’avoir mal rédigé cette magnifique chronique qui rend jaloux les stars du rire parigo qui passent chez Arthur les samedi.
Amis bisounours, tous à la pêche !
Comme le dit souvent mon proctologue, la nature humaine est profonde et quelquefois nauséabonde. Pourquoi dis-je ça ? Parce que cette chronique traitera de la connerie, pas cette chose pour laquelle j’excelle mais de la connerie vraie, celle des cons. Vaste sujet non ?
Bien le bonjour à toi, pêcheur âgé entre 35 et 50 ans. Tu ne te considères plus vraiment comme un jeune trouduc et pas le moins du monde pour un vioque. Tu es le mec qui est installé dans la vie, qui vote et n’a plus de doute sur rien alors cette chronique s’adresse à toi, les autres cassez vous !!
Yo les djeuns !! Bien le bonjour chers têtes grises !
Aujourd’hui, dans la chronique la plus intelligente du monde de l’univers, voir du cosmos de la pêche nous allons parler des putains d’anglicismes à la con qui font chier sa race maudite de sa mère. Ça fait du bien d’écrire quelques gros mots, quoi que la taille c’est 10 en Arial sous le logiciel Word, c’est pas plus gros que les autres et puis c’est encore de l’engliche.
Voilà Juillet, le mois des parigos et des allemands en short. C’est aussi le mois où pataugent toutes sortes d’abrutis hydrophiles dans nos coins de pêche, c’est encore le mois du beauf moyen venu taquiner le gardon avec sa bière, bobonne, chienchien et sa marmaille hurlante et c’est toujours le mois des pochasses qui viennent se tendre à la carpe ou au vif pour picoler dans la nature en beuglant des chansons nazies.
Le 1er juin c’est la fête des fumeurs de beuh, allez donc leur demander pourquoi, c’aurait pu être aussi la fête des plombiers. Aucun rapport avec la pêche, oui mais je dis ce que je veux, c’est ma chronique et comme il faut qu’elle colle à son époque elle ne doit pas être anachronique.
Joli moi de mai quand reviendras tu, m’apporter des feuilles, m’apporter des feuilles.
Joli moi de mai quand reviendras tu, m’apporter des feuilles pour me torcher l’cul !!!
Moi, Jean Christ Ridique, ceint d’un corps et de peu d’esprit ai décidé en mon âme et conscience fiction de mettre ma plume acide et déjantée au service de ce site. Vous retrouverez donc, à peu près une fois par mois, si l’asile m’en laisse le droit, quelques lignes où l’humour noir et décapant, la mauvaise foi, la plus entière partialité, l’irrespect de tout, et la méchanceté gratuite seront le fil conducteur de mes écrits.